lundi 26 septembre 2016

Honda / Ormes : proximité, compétences et robots tondeuses Made In France !




Si la majorité d’entre nous associe les produits Honda aux motos et aux voitures stylisées, saviez-vous que les produits d’équipements de la marque japonaise viennent de fêter leur 30 ans en France ? 
Depuis plus de trois décennies, le site Honda France Manufacturing SAS, basé à Ormes (Loiret), assemble et distribue les tondeuses à gazon, débroussailleuses et groupes électrogènes de la marque, avec à son actif six chaînes de production et une centaine de salariés.

Miimo, la tondeuse robot d’Honda est assemblée à Ormes (Loiret) © Honda


En 2012, la tondeuse robot Miimo (cf. photo ci-dessus), petite dernière de la famille Honda, change la donne : la technologie robotique fait son entrée sur le site. Un challenge technologique doublé d’un challenge humain comme l’explique Pierre Toussaint, HR Business Partner chez Honda France Manufacturing : « Nous avons considérablement développé nos compétences vers l’électronique et la gestion de projets. À chaque nouvelle génération de produits, nous créons une nouvelle expertise ».

Comme dans toutes les entreprises japonaises, Honda a une philosophie : être en quête constante d’amélioration, respecter les idées d’autrui et développer sa polyvalence. « Nous avons conçu les New Honda Circles : des cercles d’amélioration continue, constitués sur la base du volontariat. Les collaborateurs peuvent contribuer à améliorer l’environnement de travail ou faire des propositions pour réduire les coûts. Ils sont ensuite formés à la résolution de problèmes. C’est un bon moyen de mixer les compétences », précise Pierre Toussaint. Outre l’arrivée de la technologie robotique, l’organisation du site est depuis toujours calée sur la saisonnalité de l’activité. En saison haute (de novembre à mars), l’effectif du site est doublé. « Nous produisons l’hiver pour vendre l’été et notre fonctionnement est basé sur les
années fiscales japonaises ».

Dans ce contexte, de plus en plus de métiers supposent la polyvalence. Les ressources humaines, auparavant orientées autour de la gestion du personnel, sont désormais tournées vers l’accompagnement au changement, le développement des expertises et la notion de business partner. « Nous avions besoin d’un partenaire RH pour gérer la partie recrutement, organiser les intégrations et la vie des intérimaires sur le site ». L’implant EQUIP (agence d’intérim spécialisée), vient de s’installer dans les locaux d’Honda à Ormes. « Directement installé dans nos bureaux en open space, l’implant partage en temps réel la vie de l’entreprise. Le responsable de production peut directement transmettre ses besoins et la personne en charge de l’implant gère toutes les étapes de la vie du salarié : équipements, badges, contrats de travail, horaires, paies... tout se fait directement depuis le site, même la gestion du budget recrutement ». Un dispositif associant fluidité et réactivité, complètement adapté aux processus de l’entreprise.

Avec une moyenne d’âge de 46 ans et un turn over en dessous de 1%, la culture japonaise semble faire ses preuves en France. « Nos équipes de production travaillent uniquement en journée et les horaires sont adaptés afin de concilier vie privée et vie professionnelle. Nous n’avons pas de barrières sociales, nous fonctionnons beaucoup sur le principe japonais du Gemba qui signifie d’aller voir sur le terrain par soi-même. Depuis la création du site en 1985, nous avons eu deux grosses vagues de recrutement : la première lors du démarrage et la seconde en 2000 lors du passage aux 35 heures. Dernièrement, nous avons fait une dizaine d’embauches en CDI. », précise Pierre Toussaint.

Cette politique sociale volontariste, tournée vers la proximité, permet aujourd’hui de maintenir un bon climat de travail. Une philosophie partagée par Thierry Commeyras, Directeur général Honda France Manufacturing qui déclare « Honda, ce n’est pas un bâtiment; ce n’est pas le matériel; Honda, c’est les personnes qui y travaillent ». Aujourd’hui, le site d’Ormes est résolument tourné vers l’avenir comme l’explique Pierre Toussaint : « D’ici 5 ans, nous pensons doubler nos perspectives ». Soucieux de la qualité de leurs produits, les collaborateurs testent chaque tondeuse en condition réelle. L’usine d’Ormes est même le seul site du monde à produire la tondeuse robot Miimo. « Nous sommes le seul site d’assemblage français de la marque. Nous bénéficions d’un bon savoir-faire en ingénierie et nous sommes même en mesure d’intégrer des transferts de production, comme c’est le cas actuellement avec nos confrères américains ». Une success story à la japonaise qui semble faire ses preuves pour prendre le pas de la technologie robotique « Aujourd’hui, nous nous préparons à accueillir les nouvelles générations et à développer les compétences des postes de demain, qui seront très différents des postes d’aujourd’hui ».

Jessy, agent logistique polyvalent


Jessy (au milieu) accompagné de Guilhem de Lajarte, Président GEL Groupe, et d'Adeline Blanchant, responsable GEL Lens


Logistic News : Vous travaillez actuellement chez ID LOGISTICS, sur le site Brebières (Nord-Pas-de-Calais). Racontez-nous votre parcours...


Jessy : « Après avoir obtenu mon bac professionnel en 2003, j’ai commencé à travailler en mission d’intérim dans une usine près de chez moi. J’ai travaillé sur des missions, de travail à la chaîne pendant 6 ans. Pôle Emploi m’a ensuite proposé de réaliser une formation dans le secteur de la logistique. C’est ainsi que j’ai passé mon CACES 1. Grâce à cette formation, j’ai pu postuler à un poste au sein de l’entreprise Eveil et Jeux. J’ai démarré en tant que préparateur de commandes lors des campagnes de Noël, période durant laquelle l’activité dans les entrepôts est très forte. Satisfait de cette expérience dans la logistique, j’ai pu confirmer mon CACES 1 et passer mes CACES 5 et 5+. J’ai suivi une formation interne pendant 7 semaines. Après avoir effectué une seconde campagne de Noël, l’entreprise Eveil et Jeux m’a ensuite proposé un CDD d’un an. Ce fut une expérience très enrichissante ».

Logistic News : Comment avez-vous découvert le GEL CDI ?

« Après cette expérience, j’ai eu l’opportunité de travailler chez ID Logistics au sein de l’entrepôt de Brebières (Nord-Pas-de-Calais). J’ai intégré l’entreprise en tant que cariste. Au bout d’un an, j’ai été formé à tous les postes et j’ai commencé à devenir polyvalent en tant que préparateur de commandes. Pour moi, la polyvalence est essentielle dans ce secteur d’activité : c’est important de pouvoir changer, de ne pas faire tous les jours la même chose et d’apprendre continuellement. C’est à ce moment là que j’ai rencontré Adeline Blanchant du GEL Lens. Après un entretien, j’ai pu bénéficier d’un CDI : c’était l’occasion idéale de stabiliser ma situation après de nombreuses périodes en intérim. Nous étions une quinzaine de salariés GEL sur le site de Brebières. Cette année, ID Logistics a lancé une grande vague d’embauches. J’ai pu bénéficier de cette vague en juillet dernier : je suis donc désormais salarié en CDI en tant que permanent chez ID Logistics. GEL a été le tremplin et j’en suis très reconnaissant auprès d’Adeline Blanchant (GEL Lens). Aujourd’hui, je me sens bien dans cette entreprise et je peux me projeter à long terme. J’aimerai évoluer vers encore plus de polyvalence : par exemple, découvrir le milieu de la réception et suivre une formation ».

Le mot d’Adeline Blanchant, Responsable GEL Lens

« Jessy a intégré le GEL CDI dans le cadre d’une fidélisation de compétences, son parcours au sein du GEL a été exemplaire. Elu ambassadeur GEL pour notre région au premier trimestre, Jessy s’est largement démarqué par son professionnalisme et sa disponibilité. Il a été félicité personnellement par la direction lors de la soirée de lancement de notre première manifestation sportive régionale : La route du Louvre. Jessy a bénéficié d’une passerelle directe en CDI cet été ; Je lui réitère toutes mes félicitations ! »

mardi 12 juillet 2016

Manutention : comment lutter contre le mal de dos ?


Le mal de dos constitue aujourd’hui l’un des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) les plus présents dans le monde du travail et plus encore dans le milieu de la logistique. Les causes restent floues, diverses et variées : stress, postures, port de charges lourdes... 

Ce mois-ci, Logistic News vous propose un focus sur les solutions existantes pour lutter contre ce TMS qui touche plus de la moitié de la population. Tous secteurs confondus, le mal de dos touche aujourd’hui près de 85% de la population française, contre 80% il y a 20 ans. Un fléau qui représente 15% des accidents du travail et 20% des arrêts de travail. En 2014, la manutention manuelle représentait près d’un accident sur deux, contre un sur trois en 1998. Au-delà de la problématique santé, les conséquences économiques sont lourdes : on estime perdre près de 7,5 millions de jours travaillés sur une année, soit un coût d’environ 1,5 milliard d’euros. 


Vous avez dit TMS ?

Les Troubles Musculo-Squeletiques (TMS) se manifestent par une gêne physique pendant l’activité professionnelle. Articulations, muscles, tendons... les sources sont multiples et le dos est très souvent touché. Les TMS induisent des conséquences non négligeables pour le
bien-être au travail : absentéisme, désorganisation, stress ou encore baisse de la performance. 


La manutention manuelle 

La manutention manuelle de charges désigne toute opération de transport par un ou plusieurs travailleur (levage, pose, poussée, traction, déplacement...). Au sein de l’Union Européenne, 34,5% des travailleurs déclarent porter ou déplacer des charges lourdes. Cette activité professionnelle peut provoquer des douleurs multiples, notamment au niveau du dos. 
Plusieurs facteurs entrent en compte :
  • La tâche : exécutée trop fréquemment, la tâche peut être un facteur de risque important. Des positions et des mouvements inhabituels peuvent provoquer des douleurs (dos courbé, bras levés, forte extension...).
  • L’environnement : souvent sous-estimé, l’environement joue un rôle prédominant. Un espace insuffisant, un sol inégal ou un éclairage non adapté peuvent augmenter les risques d’accidents.
  • L’individu : les facteurs individuels peuvent également influer sur le risque dorso-lombaire. Formation, expérience, capacités physiques, antécédents... autant de facteurs à prendre en compte pour assurer des conditions de travail optimales.


Prévenir les risques

Pour anticiper les risques, plusieurs solutions existent. Voici quelques questions à se poser pour prévenir les risques liés à la manutention manuelle :
  • Est-ce que je peux diminuer le poids de la charge ? Par exemple, vous pouvez commander des quantités de produit plus petites afin de fractionner l’effort. Vous pouvez aussi demander l’aide d’un collègue ou utiliser un dispositif mécanique. Pensez également à utiliser des sangles pour mieux appréhender la charge à porter. 

  • Comment diminuer la fréquence de mon déplacement ? Réfléchissez à l’organisation de votre travail et à celui de vos collègues : vous pouvez être force de proposition pour faire évoluer la façon de travailler. Un parcours plus court, un lieu de réception qui change : listez les scénarios possibles afin de limiter vos déplacements. 

  • Dois-je prendre en compte les facteurs environnementaux ? Soyez attentifs au repérage et au dégagement des zones de circulation, ils ont une incidence sur l’éclairage, tout comme les lieux de dépose de la charge. 

  • Suis-je équipé des équipements de protection individuelle adaptés ? Porter des équipements de protection individuelle est un bon moyen de prévenir les risques : gants, chaussures de sécurité, ceinture lombaire, casque... faites le point sur les équipements à votre disposition pour travailler dans les meilleurs conditions possibles !

  • Et si je me formais aux gestes et postures ? Pour adopter les bons réflexes, la meilleure solution est encore de se former ! La formation est l’outil idéal pour  apprendre à adopter les bons gestes et les meilleures postures afin de limiter l’effort physique.


Zoom sur...

La manutention mécanique

Dans une situation de manutention mécanique (utilisation d’engins de levage), les risques sont également présents. Pour travailler dans des conditions optimales, pensez à vérifier les points suivants  :
  • Habilitation de l’employeur. Pour utiliser des engins de levage, un formation (théorique et pratique) est obligatoire. Le contrôle des connaissances et du savoir-faire doit être réalisé régulièrement, tout comme la visite médicale (aptitude physique et psychotechnique). Les consignes spécifiques du lieu de travail doivent également être affichées.

  • Un appareil adapté. L’appareil doit être comptatible avec la nature de la mission (hauteur de levée, inclinaison, charge...). Des accessoires peuvent être mis à disposition pour faciliter le travail (élingue, câble, potence, éperon...).

  • Entretien et contrôle. Avant sa première utilisation, ou pour une remise en service après un arrêt prolongé, l’appareil doit être vérifié par un organisme agréé. Trois types de vérifications doivent être réalisées : par le personnel habilité, avant chaque utilisation (freins, niveau d’huile, avertisseur sonore et lumineux, câbles, vérins...) ; par une société de maintenance qui assure un entretien régulier de l’installation et de ses accessoires ; par un organisme agréé qui procède aux contrôles périodiques obligatoires. La périodicité est définie par la réglementation et varie suivant le type d’appareil. Le plus souvent, elle est annuelle (pont roulant, treuil, portique...) ou semestrielle (chariot automoteur...).

  • Registre sécurité. Pour un sécurité optimale, les vérifications doivent être consignées et consultables afin de retrouver les informations essentielles du contrôle : date de l’intervention, nature, nom de l’intervenant, observations / signalements de toute anomalie...

  • Caractéristiques de la charge. Afin de mieux appréhender la charge, il est nécessaire de bien l’analyser : poids et taille (stabilité de la charge sur l’appareil), nature (matières dangereuses), emballage et signalétique...

  • L’itinéraire à emprunter. L’itinéraire emprunté par l’engin mécanique doit s’inscrire dans les règles de circulation interne du site. Dans ce cas, plusieurs facteurs sont pris en compte : nature du sol, plan incliné, encombrement, hauteur et largeur de passage, bruit, éclairage...

  • Prendre, transporter, déposer votre charge en 5 étapes
1. Fixez correctement votre charge.
2. Vérifier qu’il n’y a pas d’obstacle pendant l’opération.
3.  Assurez vous que la visibilité est optimale lors de la manœuvre.
4. Respectez les consignes de manœuvre.
5. Anticipez la charge complémentaire pour tout nouvel accessoire utilisé (éperon, potence, pinces, rallonges de fourche).

Sources : Agence européenne pour la santé et la sécurité au travail (OSHA), AMELI & INRS

Salarié du mois : Maxime, agent logistique polyvalent chez Easydis Auxerre

Logistic News : Vous êtes actuellement détaché chez Easydis, sur le site d’Auxerre. Racontez-nous votre parcours...
Maxime : « Avant d’arriver au GEL, je suis passé par plusieurs entreprises. Après avoir obtenu mon bac, j’ai démarré en job d’été en tant que préparateur de commandes au sein d’une entreprise d’outillage. Un poste de cariste s’est libéré et j’y suis resté 5 ans : c’était l’occasion idéale pour me former et passer mes CACES. à la suite de cette expérience, j’ai eu envie de voir autre chose et j’ai travaillé dans une petite entreprise familiale spécialisée dans l’isolation. J’ai ensuite poursuivi mon parcours par des missions en intérim chez Easydis (Groupe Casino) à Auxerre, pendant près d’un an et demi. C’est là que j’ai découvert le GEL CDI ». 

Logistic News : Quel regard avez-vous aujourd’hui sur le GEL CDI ?
Maxime : « A l’époque, ce dispositif n’était pas très connu, une quinzaine de salariés en bénéficiaient sur le site. Lorsque l’on m’a proposé un CDI en 2013, je n’ai pas hésité. Grâce au GEL, je ne subis plus la précarité du travail temporaire. C’est une vraie sécurité au niveau professionnel mais aussi dans la vie privée, notamment pour acheter une maison. Aujourd’hui, nous sommes une vingtaine de salariés détachés par le GEL CDI chez Easydis Auxerre ». 



Logistic News : Comment voyez-vous la suite ?
Maxime : « Actuellement, j’évolue au sein du service emballages. Nous chargeons les camions lors des mutations des entrepôts et nous gérons aussi les retours d’emballages vides. J’alterne des missions sur le terrain et des missions administratives. Développer le côté polyvalent est intéressant, cela me permet de varier les journées et de développer mes compétences. à l’avenir j’aimerais, pourquoi pas, évoluer vers un poste à responsabilités ou sur des missions plus administratives, le management m’intéresse ! ».

Le site Easydis d’Auxerre est spécialisé dans la distribution de produits frais, ultra-frais et surgelés (fruits et légumes). Avec plus de 200 opérateurs présents chaque jour et ses 27 500 m2, l’entrepôt livre les enseignes Casino allant du Nord de la France à la région parisienne en passant par l’Yonne. Une activité qui représente plus de 950 magasins (commerces de proximité, hypermarchés et supermarchés). Actuellement, 20 collaborateurs GEL CDI sont détachés sur le site d’Auxerre.

Sur des missions essentiellement tournées vers la préparation et l’expédition, les ressources humaines de l’entreprise sont le facteur clé de succès principal pour assurer un service de qualité dans les meilleurs délais. Beaucoup de métiers riches en savoir-faire : préparateur de commandes, réceptionnaire, cariste, expéditionnaire, affréteur...


Révolution sociale : lancement du CDI Intérimaire avec véhicule de fonction !



GEL Logistique, structure de détachement de personnel spécialisée dans les métiers de la logistique, est pionnière de la déprécarisation de l’emploi dans ce secteur. 
Force de constater que le CDI intérimaire reste timide sur le secteur de la logistique par rapport aux besoins existants, GEL fait aujourd’hui le choix de développer le CDI intérimaire et d’accompagner ce lancement par une opération nationale de prêts de véhicules aux intérimaires les plus fidèles. 
C’est la première fois qu’une agence d’intérim entreprend ce type d’action sur le territoire. Zoom sur cette nouvelle révolution sociale !

S’appuyant sur l’expertise du réseau GEL en matière de gestion de salariés en CDI, les CDI Intérimaires bénéficieront du même suivi personnalisé, en agence ou directement chez les clients. Les entités GEL CDI historiques perdurent et continueront de se développer sur le territoire. Le concept est simple : au lieu d’être embauché en contrat de travail temporaire classique, le salarié signe un CDI Intérimaire chez GEL. 

Il est ensuite détaché en missions au sein des entreprises clientes de GEL. Le salarié alterne alors des périodes de missions et des périodes d’intermission avec une garantie minimale de rémunération mensuelle. Une alternative au travail temporaire qui intègre les avantages d’un CDI : sécurité de l’emploi, stabilité, formation, congés payés, accompagnement professionnel... 

Une innovation signée GEL Logistic Staffing

GEL, fournisseur de solutions RH innovantes, oeuvre pour la déprécarisation de l’emploi, avec plus de 70 implantations en Europe qui travaillent main dans la main avec les acteurs locaux de l’emploi et de l’insertion (Pôle Emploi, Missions Locales...). 

Spécialisé dans le détachement de personnel 100% dédié aux métiers de la logistique, GEL propose aux acteurs de ce secteur un modèle socialement innovant , par le détachement de pools d’agents polyvalents qualifiés en CDI et Intérim.  Une offre alliant souplesse, sécurisation et fidélisation afin de répondre aux besoins des salariés et des clients.

Les avantages du CDI Intérimaire

  • Rémunération
Le salarié bénéficie d’une garantie minimale mensuelle de rémunération, versée par GEL Intérim, pour couvrir les périodes d’intermission. Lorsque le salarié est en mission, sa rémunération est basée sur le taux de l’entreprise cliente.

  • Sécurité de l’emploi
Le salarié gagne en stabilité et peut plus facilement se projeter à long terme : emprunt, équilibre vie privée / vie professionnelle... 
Les missions interviennent principalement au sein d’un périmètre géographique identifié lors de la conclusion du contrat. De plus, votre couverture sociale est complète (sécurité sociale, prévoyance et retraite complémentaire, mutuelle).

  • Congés payés
Le salarié peut planifier des congés selon ses droits acquis. Il peut également bénéficier de formations rémunérées pour développer son employabilité selon ses besoins ou ceux émis par les entreprises clientes.

  • Polyvalence
Ce CDI Intérimaire permet d’effectuer des missions variées au sein de différents types d’entreprises (PME, groupe…). Le salarié peut exercer jusqu’à trois emplois différents. Pour chaque mission, votre lettre de mission décrira la qualification et le poste de travail concerné. Si une embauche dans l’entreprise utilisatrice lui est proposée, il peut l’accepter.

GEL Groupe n’a pas fini d’innover et accompagne ce lancement d’une opération nationale de prêts de véhicules aux intérimaires les plus fidèles (sous condition d’ancienneté). C’est la première fois qu’une agence d’intérim entreprend ce type d’action sur le territoire. Une première flotte sera mise en service dés 2016 sur l’ensemble de la France. Une action forte de sens qui marque le lancement du CDI Intérim pour la déprécarisation de l’emploi. 

Plus d'infos : gelgroupe.com